Le Mouvement * »N.O.N »*(NOUVEL ORDRE NATIONAL), par la voix de son président *Ibrahima Sory Keita,* lance un appel solennel au Général Président Mamadi Doumbouya pour qu’il réponde à l’appel constant du peuple souverain de Guinée en se portant candidat à la prochaine élection présidentielle.
Le Mouvement N.O.N (NOUVEL ORDRE NATIONAL) s’engage pleinement, aux côtés de l’Alliance des Forces Patriotiques (AFP), pour soutenir la candidature du Général Mamadi Doumbouya.
À cet effet, une réunion d’information s’est tenue ce samedi 12 avril 2025, au siège de l’organisation à Gbessia Cité1( kondeboundji), commune de gbessia. Cette rencontre a rassemblé l’ensemble des membres du N.O.N, afin de leur présenter la nouvelle orientation politique décidée par les responsables du mouvement à travers les différentes antennes et démembrements sur l’ensemble du territoire national. Ces derniers ont ainsi pris l’engagement ferme de soutenir les idéaux des autorités actuelles du pays et d’investir le Général Mamadi Doumbouya comme candidat à la prochaine élection présidentielle.
Prenant la parole, le président du N.O.N, M. Ibrahima Sory Keita, a officiellement annoncé l’adhésion de son mouvement à l’Alliance des Forces Patriotiques (AFP). Cette décision historique, actée le jeudi 10 avril 2025, marque une étape cruciale dans le paysage politique guinéen à l’approche des échéances électorales. M. Keita a également pris l’engagement de transmettre la liste complète des représentants du N.O.N à travers le pays aux responsables de l’AFP, dans le but de fédérer les actions et de coordonner les stratégies de mobilisation sur l’ensemble du territoire national.
Dans son intervention, il a lancé un appel fort à la jeunesse et aux femmes de Guinée pour qu’ils soutiennent sans réserve le Général Mamadi Doumbouya. Son message est clair :
**« Jeunesse de Guinée, le Général Président Mamadi Doumbouya représente une véritable opportunité pour notre nation. Saisissons cette chance pour apporter nous-mêmes des solutions aux problèmes que nous rencontrons au quotidien. Refusons que l’on discute de nos problèmes sans nous, car qui mieux que nous connaît nos réalités ? Engageons-nous pleinement dans le débat politique national et dans la gestion de notre pays. En intégrant les instances de décision, nous pourrons défendre efficacement notre cause.
Chers jeunes confrères, comme le disait Frantz Fanon : « Chaque génération doit, dans une relative opacité, affronter sa mission : la remplir ou la trahir. » Faisons face à notre mission avec honneur, sincérité et loyauté, pour servir la patrie et défendre l’intérêt général.
Aborder aujourd’hui la question de la jeunesse, c’est se confronter à un exercice difficile et complexe, surtout au regard de la réalité socio-économique et politique de notre pays. Nous risquons de sombrer dans des redites interminables et dans l’apitoiement, pour finir par conclure : « Ce pays ne nous offre rien, nous devons le quitter. »
Depuis longtemps, nombreux sont les jeunes Guinéens qui rêvent d’ailleurs. Beaucoup ont déjà quitté le pays, d’autres s’apprêtent à le faire. Que ce soit vers les petits pays d’Europe, d’Asie ou d’ailleurs, par voie maritime ou aérienne, ils fuient à la recherche d’un avenir meilleur. Ce n’est pas nécessairement pour des raisons d’études, mais surtout pour échapper à des conditions de vie devenues insoutenables.
On a toujours appris aux jeunes à craindre la politique. Parler de politique en famille ou en société revient souvent à déclencher une levée de boucliers. C’est la conséquence directe des comportements de certains acteurs politiques qui placent leurs intérêts personnels avant ceux du peuple. Les luttes de pouvoir, la corruption, les coups bas, voilà autant de fléaux qui ont terni l’image de la politique dans notre pays.
Il faut aujourd’hui beaucoup d’audace pour s’y engager, pour le meilleur et pour le pire. Ce climat suscite des réticences compréhensibles chez les jeunes, déjà vulnérables face aux multiples manipulations dont ils font l’objet.
Jeunes compatriotes, engageons-nous dans nos différentes circonscriptions électorales pour soutenir le Président Mamadi Doumbouya et l’élire démocratiquement à la magistrature suprême. Pour cela, nous irons très prochainement sur le terrain, au compte de l’AFP, en commençant par la Basse-Guinée : Conakry, Coyah, Kindia, Boké, Forécariah, Fria, Boffa, Télimélé, pour ne citer que ceux-là. Puis, en poursuivant en Moyenne-Guinée : Mamou, Labé, Pita, Dalaba, Koubia… En passant par la Haute-Guinée : Faranah, Kankan, Kouroussa, Siguiri, Mandiana, Kérouané, Kissidougou… Et enfin, en Guinée forestière : Guéckédou, Macenta, Nzérékoré, Lola, Beyla, Yomou.
Aucun centimètre carré du territoire guinéen ne sera oublié pour parler de l’homme du 5 septembre 2021. »
*Ibrahima sory keita,* leader du « NOUVEL ORDRE NATIONAL » membre de *L’AFP* ( Alliance des Forces Patriotiques)