Selon le ministre Aboubacar Sylla, le retrait de l’OIF du processus électoral ‘’n’est pas un coup dur, puisque cette décision était attendue. Le rapport a été déjà déposé au niveau de la CENI et sa publication attendait le 16 mars prochain’’.
A lors que le Premier ministre Ibrahima Kassory Fofana a déclaré que le retrait de l’Organisation internationale de la Francophonie du processus électorale est un coup dur pour la Guinée, le porte-parole du gouvernement dit tout à fait le contraire.
Le ministre des Transports estime que les motifs évoqués par l’OIF pour justifier son retrait ne sont pas de nature à remettre en question tout le processus électoral.
‘’Le fait que l’OIF ne soit appesantie que sur un seul point concernant l’état du fichier électoral, le cas de ces électeurs dont les données biométriques ne sont pas complètes, je crois tout ceci peut être des motifs encourageants d’améliorer ce fichier, mais pas de remettre en cause tout le processus électoral’’, indique Aboubacar Sylla dans le Quotidien.