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Quand le régulateur en chef des médias est lui-même pris dans l’étau d’un impair ou raté devenu légion en Guinée !

 

Être cité dans une affaire penale est toujours inconfortable moralement, surtout quand il est balancé à la figure dans le JT du plus grand media audiovisuel (RTG) pendant un moment de grande audience. Je pense que le Président de la HAC ayant lui-même vécu cet inconfort moral, veillera au respect de la législation en vigueur surtout quand on est cité par voie de presse dans du sale, ça fait toujours mal!

La star planétaire Mory Kante (Paix à son âme ) Monsieur « Top 50″, aimait à rappeler cette phrase :  » ça n’arrive pas qu’aux autres « ! L’instance de régulation doit chercher à de plus en plus protéger l’image du citoyen. Ce qui est un droit sacré reconnu à toute personne dans cet environnement numérique. Et, surtout ne plus protéger les journalistes récidivistes dans le cadre de la dépénalisation des infractions de presse. Car la loi protège la profession qui est un sacerdoce à rigoureusement observer.

Le droit à l’oubli dans un tel environnement numérique comme le nôtre aujourd’hui, n’est pratiquement plus possible ! Qu’à cela ne tienne, au « Nord »(occident), les images des terroristes capturés parfois enchaînés et conduits en salle de procès sont protégées des objectifs des différents appareils multimédias.

Heureusement que ce n’est pas cette fameuse séance de présentation des « delinquants (Pendant qu’ils n’ont ni été présentés à un procureur ( capable de les poursuivre ou relâcher) encore moins passés devant un juge d’instruction (information judiciaire à charge ou décharge ) ou devant le Juge du siège (condamnation ou relâche)) à la presse » inventées par des Officiers de Police Judiciaire (OPJ) épenitents qui reprennent encore pion sur rue! Pourtant, les contrevenants (pas en termes de contravention) ou violateurs de cette disposition du code de procédure pénale s’exposent à des poursuites judiciaires. En règle générale, il n’ya que le parquet qui peut faire des communications sur des cas et les Conseils des prévenus dans les limites et conditions reconnues par la loi et le règlement de leur corporation.

La réforme dans le bon sens doit être de rigueur, parce qu’il y’a aussi des réformes pernicieuses et non salutaires.

Bonne chance!

Que triomphe La vérité !

Puisse Dieu guider et éclairer nos pas ! Amen!

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