” La phase actuelle de notre combat est très critique. Si on n’est pas appelé le lundi ou mardi pour des négociations, le mercredi nous allons convoquer une réunion pour descendre dans la rue. Nous allons descendre dans la rue en invitant élèves et parents d’élèves. Il faut qu’on agisse avant le 1er mars (date des législatives et du référendum, NDLR). » Ainsi a annoncé Soumah lui-même, au cours de l’assemblée générale du SLECG de ce samedi 22 février.
Le leader du SLECG se rend peut être en compte finalement que le fait de rester à la maison ne suffit plus. Car,le constat est que sa grève s’ essouffle. Elle n’est plus suivie, l’État grâce aux primes de zones distribuées çà et là, les enseignants ont regagné les classes.
Donc pour le camarade Aboubacar Soumah et compagnons, pour mener leur lutte revendicative ; ils comptent procéder à une manifestation de rue dans les jours qui suivent pour mieux se faire entendre.
Guineevox.info