Il aurait pu choisir de s’enrichir sous d’autres cieux, mais il a préféré enrichir sa patrie de son expertise. Il aurait pu aussi se servir, mais il a préféré servir ses compatriotes de ses expériences. Il c’est ce jeune guinéen, qui ne respire que Guinée, au point de snober les offres les plus alléchantes des plus grandes firmes de technologie au monde, au profit de sa patrie.
Taliby Kaba, puisse qu’il s’agit de lui, est une ressource humaine rare en technologie sur le continent africain. Vivement sollicité par presque toutes les sociétés de téléphonie en Guinée et dans le reste du monde, pour ses compétences, il est également convoité pour sa somme d’expériences dans un secteur en pleine expansion, la technologie.
Cet ingénieur Télécom et Réseau a un parcours professionnel sans égal. En 2014, il nommé directeur général de l’Entreprise Africaine des Télécommunications et de l’Informatique(ENATI). Où il a contribué à hisser l’entreprise à un niveau international inattendu. Mais habité par un patriotisme incurable, l’enfant du pays décide de retourner au bercail. Et cela intervenait à un moment où, les plus grandes entreprises technologiques mondiales, lui proposaient des contrats assortis de salaires astronomiques.
Une fois en Guinée, à peine qu’il déposait ses valises sur la terre de ses ancêtres, Taliby Kaba était déjà sollicité par toutes les sociétés de téléphonie locale ( Orange, Cellcom et Areeba). Aussitôt, il n’hésite pas à mettre ses expériences internationales à leur service.
Ce féru de technologie met à leur disposition toutes ses compétences et expériences en maintenance ,déploiement de réseau fibre optique, installation ,raccordement, mesure, signal,codage que sais-je encore ? Quant à l’internet, il n’a plus de secret pour ce génie purement guinéen. Mais également,Il a une parfaite maîtrise du fondement des multimédias.
A cette phase de relance de la sotelgui, Taliby Kaba apporte son expertise à l’Etat guinéen, à travers le ministère des postes et télécommunications, pour combler les attentes de ses compatriotes qui n’ont que trop souffert.
K. B.
