Accueil À LA UNE Rentrée universitaire: l’invite du SNEASURS aux nouvelles autorités (déclaration)

Rentrée universitaire: l’invite du SNEASURS aux nouvelles autorités (déclaration)

A l’occasion de la rentrée universitaire session 2021-2022, prévue demain lundi 1er Novembre 2021, le bureau exécutif national du syndicat national autonome de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique (SNEASURS), a rassuré les nouvelles autorités, de sa ferme volonté de continuer à œuvrer aux côtés de ses partenaires pour l’amélioration des conditions de vie et de travail du personnel enseignant du supérieur.

Dans la déclaration qui a été lue à cet effet, par son secrétaire général Dr Baba Mansaré, le SNEASURS a mis un accent particulier sur les problèmes récurrents qui, selon lui, empêchent le bon fonctionnement des institutions d’enseignement supérieur en Guinée. Ce sont entre autres :

1- le retard dans le paiement des frais de formation et d’assistance des enseignants chercheurs et chercheures;

2- le retard dans le paiement de la subvention allouée aux IES et CRS;

3- l’insuffisance d’entretien des infrastructures et équipements existants;

4- l’absence d’un cadre organique dans certains IES;

5- l’omission de certains homologues dans certaines IES et CRS ;

6- le non-retour de l’arrêté conjoint NºA/2017/2356/MERS/MEF/CAB du 05 juin 2017, portant revalorisation des primes, indemnités et avantages spéciaux accordés aux enseignants chercheurs et chercheures en incluant les assistants.

S’agissant des problèmes spécifiques à chacune des IES, le SNEASURS invite ses sections syndicales à ouvrir un couloir de négociation avec leurs autorités respectives dans un climat de paix et de convivialité.

Le BEN du syndicat informe par ailleurs l’ensemble des travailleurs du MESRI qu’il a effectué une mission à l’université Julius Nyéréré de Kankan pour un problème opposant les travailleurs représentés par la section syndicale aux autorités universitaires. Au termes de neuf jours de travaux un accord a finalement été trouvé entre les deux parties. Pouvons-nous lire dans cette déclaration.

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